Le kot idéal

Chaque année, des milliers d’étudiants partent à la recherche du kot parfait. Chacun avec sa propre liste de conditions. Pour ceux qui n’ont pas encore trouvé le kot de leurs rêves, les conseils suivants seront sûrement utiles :

1. Les anciens locataires

Les habitants précédents sont-ils satisfaits du kot ? Ils sont en effet les mieux placer pour savoir s’il y fait bon vivre ou pas. Comment sont les conditions de sécurité et de logement, les installations, etc. ? Posez-leur toutes vos questions.

2. L’emplacement

Réfléchissez au quartier dans lequel vous aimeriez vivre. Plutôt un milieu estudiantin où règne la bonne ambiance ou un endroit plus serein propice au calme et à la concentration ? Explorez les quartiers pour y sentir l’atmosphère.

3. Le « Label kot »

À Bruxelles, Louvain, Anvers et Gand, la ville et l’université attribuent un « Label Kot ». C’est la preuve que le bâtiment est en ordre en matière de sécurité incendie, d’installations sanitaires, etc. Établissez un état des lieux au début de la période de location. Ainsi, vous ne serez pas tenu responsable pour tout dommage déjà présent.

4. Les détails du contrat de location

Ne vous exposez pas à des surprises désagréables. Exigez de la transparence au sujet des frais auxquels vous pouvez vous attendre en tant que locataire. Le bien immobilier doit en outre être enregistré en tant que kot. Sinon, vous pourriez avoir à payer un impôt sur une résidence secondaire. Négociez un contrat de 12 mois. Ce sont les conditions les plus courantes et les plus souples.
 

5. La nouvelle législation sur les baux d’habitation

Depuis janvier 2019, une nouvelle législation en matière de baux d’habitation est en vigueur en Flandre et depuis 2018 à Bruxelles… avec des conséquences pour ceux qui cherchent un kot. Par exemple, la garantie locative ne peut pas dépasser 2 mois. Veillez donc à ce que le contrat soit conforme à la nouvelle législation.

Si votre enfant étudie en kot, pensez à l’assurance familiale en plus de l’assurance incendie.